
Au cours de son audition devant l'Assemblée Nationale, Michel Barnier a prouvé que l'esperanto pouvait faire gagner l'Europe en efficacité.
Il n'a pas caché en effet que le retard qui amenait probablement la clôture du processus Brexit à fin février voire au-delà était dû à l'obligation de traduire l'accord en 24 langues et à en assurer ensuite le contrôle dans chaque langue nationale.
Assurer un outil de communication orale et écrite commun ferait économiser des tonnes de papiers - l'accord comprend plus d'un millier de pages -...
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